Lavallière paysanne dépareillée

Celle qui chante toujours un peu trop fort

Elle riait avant d’avoir fini ses phrases. Ses jupons sentaient la farine chaude, ses doigts la résine. On la voyait danser au milieu des marchés, entre les tréteaux grinçants et les paniers de mûres, les rubans de sa lavallière voletant comme des étendards de fête.

Elle disait que les choses trop assorties l’angoissaient. Que les fleurs ne poussent pas toutes du même côté, alors pourquoi le tissu le ferait-il ? L’un de ses pans portait une grande composition florale, l’autre un feuillage discret — et elle y voyait un équilibre que personne n’avait besoin de comprendre.

Son rire avait la couleur du pain levé, sa lavallière celle des haies en été. Et si vous la croisez un jour, elle vous dira peut-être :
« Ah, vous avez connu ma cousine ? Celle à la lavallière plus sage, plus régulière ? On n’a jamais réussi à s’asseoir sur la même chaise, mais on s’aime bien quand même. »

Détails techniques :

• Coton imprimé de feuilles bleues sur fond blanc avec une touche de marron

• Légère et vole au vent : accessoire original sans prétention

• Confection 100 % artisanale, française et écoresponsable

• Se noue simplement autour du cou de différentes façons

• Compatible GN, bal, shooting, marché ou même quotidien assumé

• Revalorisation des tissus dormants

• Composition : 100% coton,