Commissions ouvertes

an abstract photo of a curved building with a blue sky in the background

Doublet

€350.00

Détails techniques :

  • Compatible GN, bal, shooting, marché médiéval ou même quotidien assumé

  • Prêt à personnaliser sur mesure

  • Tous les éléments sont à décider (tissu, galon, couleur, motif (?), et autres fioritures).

  • Le prix indiqué est un "à partir de" et le devis final dépendra de la personnalisation souhaitée

  • Sans concertation en amont lors d'un rendez-vous de cadrage de projet préalable à la commande le délai de réalisation est de maximum six mois. Prenez rendez-vous avec moi pour toute deadline plus courte

  • Vous comprenez que cet article est réalisé sur mesure et en modèle unique spécifiquement pour vous, qu'ils s'inscrit dans mon planning et qu'une expédition immédiate sera impossible. Prenez rendez-vous avec moi si vous souhaitez affiner votre projet.

  • Si vous souhaitez des matières chères de type brocard, veuillez me contacter absolument avant de passer commande afin que nous puissions ajuster le budget

Sur-mesures

La prise de mesure est une étape cruciale de la commande. Prenez votre temps et faites vous aidez ! Si les mesures sont mauvaises, le vêtement ne vous ira pas aussi bien qu'il aurait pu. 

Voici l'article expliquant comment bien prendre vos mesures https://www.lesmainsacoudre.com/prenez-correctement-vos-mesures

Il fut d’abord taillé pour un héritier récalcitrant, veux qui refusait les armures et préférait les joutes de mots aux coups d’épée. Le tailleur, inspiré, confectionnait ce doublet comme une seconde peau : solide pour encaisser les colères, élégant pour séduire une salle entière, souple pour disparaître dans une ruelle.

Ceux qui l’ont porté disent qu’il change un peu selon la personne : à l’un, il donne l’air d’un diplomate ; à l’autre, celui d’un bretteur ; à un troisième, l’allure tranquille d’un érudit. Ce n’est pas de la magie. C’est le regard des autres, cousu dans la doublure, qui se reflète à travers lui.

Quand on croise ce doublet, il est déjà trop tard : on ne regarde plus la tenue, mais la personne dedans. Et l’on se souvient d’elle longtemps, parfois sans savoir pourquoi.

On dit qu’il n’en reste qu’un, oublié sur un mannequin de bois, attendant qu’on vienne l’essayer.