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an abstract photo of a curved building with a blue sky in the background

Doublet la Fée Nobilienne

€600.00

Détails techniques :

  • Compatible GN, bal, shooting, marché médiéval ou même quotidien assumé

  • Prêt à personnaliser sur mesure

  • Tous les éléments sont à décider (tissu, galon, couleur, motif (?), et autres fioritures)

  • Le prix indiqué est un "à partir de" et le devis final dépendra de la personnalisation souhaitée

  • Sans concertation en amont de la commande lors d'un rendez-vous de création de projet, le délai de réalisation est de maximum six mois. Prenez rendez-vous avec moi pour toute deadline plus courte

  • Vous comprenez que cet article est réalisé sur mesure et en modèle unique spécifiquement pour vous, qu'ils s'inscrit dans mon planning et qu'une expédition immédiate sera impossible. Prenez rendez-vous avec moi si vous souhaitez affiner votre projet.

Sur-mesures

La prise de mesure est une étape cruciale de la commande. Prenez votre temps et faites vous aidez ! Si les mesures sont mauvaises, le vêtement ne vous ira pas aussi bien qu'il aurait pu. 

Voici l'article expliquant comment bien prendre vos mesures.
Les mesures sont à fournir sur cette page, j'ai besoin des mesures du "haut du corps"

On raconte que ce doublet fut conçu pour un duelliste dont le nom, bien qu’effacé des chroniques officielles, circule encore à voix basse dans les tavernes où l’on respecte l’élégance autant que la lame. Celui qui le portait n’acceptait un duel que pour une seule raison : défendre un serment donné. Jamais par orgueil, jamais pour briller — seulement pour que la parole ait le poids de l’acier.

Le doublet, d’un noir profond brodé de motifs presque invisibles, fut taillé pour accompagner ses mouvements précis. Les éclats argentés sur les manches évoquaient à la fois la grâce d’un geste et la fulgurance d’une estocade. On disait qu’en combat, ces reflets troublaient l’adversaire un battement de cœur — et ce battement suffisait.

Aujourd’hui encore, ceux qui connaissent son histoire affirment que le doublet ne se laisse porter qu’à une condition : que celui qui l’enfile respecte, comme son ancien maître, la noble règle des serments tranchants — ne jamais se battre que pour ce qui mérite d’être tenu jusqu’au bout.