Commissions ouvertes

an abstract photo of a curved building with a blue sky in the background

Casaque

€400.00

Détails techniques :

  • Compatible GN, bal, shooting, marché médiéval ou même quotidien assumé

  • Prêt à personnaliser sur mesure

  • Tous les éléments sont à décider (tissu, galon, couleur, motif (?), et autres fioritures)

  • Le prix indiqué est un "à partir de" et le devis final dépendra de la personnalisation souhaitée

  • Sans concertation en amont lors d'un rendez-vous de cadrage de projet préalable à la commande le délai de réalisation est de maximum six mois. Prenez rendez-vous avec moi pour toute deadline plus courte

  • Vous comprenez que cet article est réalisé sur mesure et en modèle unique spécifiquement pour vous, qu'ils s'inscrit dans mon planning et qu'une expédition immédiate sera impossible. Prenez rendez-vous avec moi si vous souhaitez affiner votre projet.

  • Si vous souhaitez des matières chères de type brocard, veuillez me contacter absolument avant de passer commande afin que nous puissions ajuster le budget

Sur-mesures

La prise de mesure est une étape cruciale de la commande. Prenez votre temps et faites vous aidez ! Si les mesures sont mauvaises, le vêtement ne vous ira pas aussi bien qu'il aurait pu. 

Voici l'article expliquant comment bien prendre vos mesures https://www.lesmainsacoudre.com/prenez-correctement-vos-mesures

On dit qu’elle fut taillée pour les gardiens du Passage, ces silhouettes silencieuses qui veillaient aux frontières des royaumes. Leur tâche n’était ni de combattre, ni de juger, mais d’observer — et d’attendre. Chaque bouton, du col jusqu’au sol, symbolisait une nuit de garde passée sous les étoiles, immobile, à écouter le souffle du vent et à scruter les ténèbres.

La lourde étoffe protégeait des pluies battantes comme des froids cruels, et sa coupe sévère effaçait presque la forme humaine de celui qui l’enfilait. Certains disaient même que la casaque, au fil des veilles, apprenait à connaître celui qui la portait, se moulant à ses épaules et à ses gestes jusqu’à devenir une seconde peau.

On raconte qu’il reste une pièce de cette époque disparue. Elle aurait appartenu au dernier gardien, celui qui ne quitta jamais son poste, même quand les tours se vidèrent et que les royaumes cessèrent de craindre les ombres. Sa casaque, lourde de silence et de secrets, survécut à l’homme.

Aujourd’hui encore, lorsqu’on la revêt, certains prétendent sentir ce poids : non celui du tissu, mais celui des cent veilles, et des yeux d’un monde disparu qui continuent de regarder à travers ses boutons d’acier.